Râperie de Liéramont
Traitement de la betterave
Cette importante râperie fut reconstruire après la première guerre mondiale. Elle cesse ses activités, et les bâtiments sont affectés après 1962 au conditionnement et au stockage des phosphates.
Râperie de Liéramont
Crédits : Ministère de la Culture/Région Picardie/ F. Dubuc (photographie), 1990
Avant la Première Guerre Mondiale, la capacité de la râperie de betteraves de Liéramont permettait de travailler 200 tonnes de betteraves par 24 heures. Reconstruite au lendemain de la première guerre mondiale, la râperie est rattachée à la Sucrerie de Sainte-Emilie, de la Société Vermandoise de Sucrerie.
Après la cessation d’activité, avant 1962, les bâtiments ont été affectés au conditionnement et au stockage des phosphates.